Ethic of liberal arts

The individual has always had to struggle to keep from being overwhelmed by the tribe. If you try it, you will be lonely often, and sometimes frightened. But no price is too high to pay for the privilege of owning yourself.

Rudolph Kipling

If we have to go back to the basis of reading, what would be the first imperative ? From a Cartesian point of view, there is no one, Neither basis or dogma. But this kind of statement would be too simple and give a chaotic feeling. For Descartes, there would be only one imperative to follow in a matter of reading, the doubt. We have to believe in the doubt doctrine, it’s the only answer to alienation. Indeed, if there is something that we can’t doubt about, it’s the doubt itself.

Behind this cogito ergo sum, arises a whole bible of the questioning that we can swap with the art of reading. The point here, is the reasons that emerge from the will of reading.

Like esoteric beliefs, there is no sense to stop our questioning to the aesthetics of a thought, a religion or philosophy, unless that your goal is not to tend toward the true knowledge. The doubt forces us to never become the man of one book, and avoid our desire of identity by the appropriation of a thought to give colors, a shape and a direction to our lives. The mantra of the weak, who don’t want to tend toward knowledge, is to embrace an aesthetic label to comply with a group.

We got the opulence to have access to the most powerful thought. Then, why let yourself seduce by some books written in the desert by mysterious persons… The coercive social appeal pushes us to pick a lifestyle label, instead, to have a true interest in the philosophy of which the label comes from.

At this time, the research of knowledge is replaced by the comfy feeling of dogma and labelling. It’s because the world remains silent in front of existential questioning, that we cope in the belief of religious or philosophical doctrines.

The Cartesian doubt help us to not being curb by a consoling thought. So where to start the journey of lit ? Internet decides, we have to start with the Greeks, basically to respect the chronology. The path to follow is the next : Start with the Greeks, think of the Greeks, doubt of the Greeks and move on… Don’t spend too much time with an author, go to the next once you came in terms with him.

Start the journey with Plato seems natural for us. His works give us questioning on the classic concepts of philosophy : metaphysics, law, politics, ethic… The Socrates of Plato’s books does not affirm ideas, but only asks good and meaningful questions. Socrates says that we progress in philosophy only by asking new questions, not by the research of comfy answers to fill an existential void.

For him, the philosophical questioning is perpetual, find an aesthetic answer is pointless. It’s in this perpetual research that the philosopher grows up and acquires wisdom toward existence.

We must have to go through question to question, because the nature of the question is most of the time more relevant than the answer itself. For the Greeks, the key is in the ascent, not the summit.

However, the forces of our society make us to choose a label, and going against these forces would be non-productive. For Rudolph Kipling (aphorism of the beginning of this article), pushing against the social flow would be deplorable but necessary to owning oneself. The doubt religion offers an alternative. By owning the label of non-label, we let ourselves be carried away by the social forces. Neither submerged nor swept away, the doubt saves us from the drowning and gives us a nice walk into the limbo of the thoughts.

But this journey starts with one question. What are you looking for ? Comfort or Knowledge ?

To go deeper :

  • Plato. (2008). Republic. Oxford University Press.
  • Descartes, R. (1951). Meditations. Liberal Arts Press.

The way of lit – introduction aux humanités

Par où commencer ? Quel livre lire en premier ? Quel courant choisir ? Est-ce que je peux commencer par Zarathustra ? Il est normal de se poser toutes ces questions quand on entreprend une démarche littéraire. Le problème de ces questions est qu’elles ont des réponses multiples. Les besoins, les envies et les styles diffèrent en fonction des individus. Mais nous restons tous des sapiens aux comportements relativement similaires à l’échelle macroscopique de la société. Alors, une introduction commune à la littérature n’est pas nécessairement malvenue.

Plutôt que de vous donner une liste de livres à traiter, Paper Street House vous propose carrément une carte guidée pour une introduction aux sciences humaines, sociales et littéraires : The way of lit (”La voie de la littérature”, mais c’est moins stylé en français). La carte forme un parcours composé d’une quarantaine d’auteurs et des propositions d’ouvrages pour chacun d’eux. La totalité de la map devrait représenter 60 à 80 livres. Je recommande de lire au moins un ou deux livres par auteur traité, en plus des recherches complémentaires à réaliser (forums, wiki, Youtube…).

Pour qui est faite la carte ?

J’ai tenté de me baser sur mon propre profil qui est, sans nul doute, dans la moyenne… Je vous laisse le soin de juger de la pertinence de la déduction par le vécu. Donc, si vous n’avez pas ou peu reçu d’éducation littéraire au lycée ou à la maison (ce qui n’est pas dramatique en soi), la carte vous sera utile. De manière générale, elle intéressera toute personne qui, consciente de son manque de bagage culturel, cherche à cerner et s’approprier les principales références littéraires (ici, le mot littéraire englobe aussi sciences humaines et sociales).

Qui a fait la carte et comment ?

C’est moi-même, à l’aide de mes propres lectures et recherches. J’y ai représenté ceux qui me semblent être les acteurs fondamentaux de la pensée humaine en suivant une certaine chronologie, sans passer par les écoles présocratiques et scolastiques. À la base, j’avais réalisé la carte pour un collègue écossais, raison pour laquelle elle est en anglais. Mais sa compréhension reste accessible à tous. Une traduction est prévue, en attendant je vous invite à utiliser Google traduction.

La carte se divise en trois parties :

Phase antique : on y retrouve les courants principaux de l’antiquité grecque et romaine.

Phase moderne : on y retrouve l’humanisme de la Renaissance et le siècle des Lumières.

Phase contemporaine : on y retrouve les fondamentaux des approches économiques et sociales des problèmes humains, ainsi qu’un large panel d’auteurs de la philosophie continentale (phénoménologie, postmodernisme…) et analytique (logique, philosophie du langage, philosophie de l’esprit…).

J’ai conçu la map avec un accent sur la phase contemporaine, car je pense qu’une ouverture sur les pensées récentes est plus pertinente pour une simple raison de logiques temporelles. Effectivement, les auteurs d’aujourd’hui prennent en compte les anciens, l’inverse n’est pas vraiment possible. Ou encore, la phase contemporaine est accentuée, car les problématiques des ouvrages sont beaucoup plus actuelles que celles évoquées par Descartes en 1630…

Ce que permet la carte

  • La construction d’une bibliothèque générale, utile pour toute la vie.
  • L’optimisation de la compréhension des auteurs grâce à une bonne chronologie.
  • La fixation d’un cap ludique pour le lecteur.

Pourquoi commencer par les Grecs ?

Commencer par Homère, c’est démarrer par les racines de notre civilisation. Il faut comprendre que la majeure partie des pensées occidentales émane des philosophies gréco-latines. Commencer par les Grecs, c’est démarrer l’histoire de la philosophie (et toutes les disciplines qui en découlent) par le début. Comprendre l’histoire, c’est mieux saisir les pensées d’aujourd’hui. Vous allez voir pendant votre route sur The way of lit, que les auteurs évoqués font toujours référence aux anciens dans leurs travaux, notamment les anciens que vous aurez déjà traités sur le parcours.

Pourquoi avoir écarté le moyen-âge ?

Il ne faut pas oublier que The way of lit est une introduction littéraire. À mes yeux, la philosophie médiévale (philosophie chrétienne et scolastique) n’a pas sa place dans une introduction à la littérature, tout comme les philosophies asiatiques (Bouddhisme, Taoïsme…). Leur caractère religieux, toujours selon moi, fait que l’on s’écarte des humanités. Néanmoins, rien ne vous empêche de les intégrer au parcours si vous y tenez.

Où est la bible ?

L’absence du premier et du second testament est sans doute l’un des défauts de la carte. Combiner Homère et la bible me semble être trop lourd pour une simple introduction. Si vous tenez tout de même à la présence de la bible, je vous propose de suivre en parallèle le 1 Month Bible Reading Plan :

C’est un plan qui vous donne une compréhension partielle de la bible sur 30 jours. Je ne l’ai jamais suivi et donc, je n’en connais pas l’efficacité.

C’est trop compliqué, que faire ?

Pas si simple de commencer The way of lit quand on n’a jamais eu une expérience sérieuse de la lecture au préalable. Je renvoie dans un premier temps vers mon article concernant le livre How to read a book qui vous donne une méthodologie concrète de la lecture. Ensuite, je vous invite à faire des recherches complémentaires en ligne sur les ouvrages que vous êtes en train de lire. Si vous sentez qu’un auteur est trop compliqué à traiter, n’hésitez pas à abréger votre lecture et à vous renseigner sur Wikipédia, les forums et Youtube. Le but d’un livre n’est pas de l’avoir lu et analysé à 100%. Si vous avez compris les théories et les concepts évoqués dans le livre, même sans l’avoir lu en entier (grâce aux recherches complémentaires), passez à la suite. Ce n’est pas dramatique de ne pas finir un livre, ce qui est dommage c’est de passer à la suite sans avoir compris l’auteur que vous traitiez.

Ce qui est important, c’est d’avoir compris ce que l’auteur voulait dire et de pouvoir s’en servir et en parler.

Neuroticism and vanity

Have you ever considered the fact that your lack of courage or confidence, which curb your capacity to have social skills, is just the absurd expression of your ego and vanity ?

Your lack of extraversion appears only through your fear of being imperfectly perceived by the others. Someone who put too much value in the representation of the self, will try to avoid the social modification of his representation by the social action. And thereby, will stay in his tremulous condition. May be the introvert likes his self too much.

This archetype of the shy person responds to the ideal type model theorised by Erving Goffman (Goffman, 1959) of the conscious actor of the social stage and his proper representation duty. Then, the introvert match with this extreme model. Too conscious of the risks in the event that his social actions be misunderstood by the others, he ends up by risking nothing.

Because of this nihilist resentment for “all” social domination (cf the Nietzschean system in “Genealogy of the moral”), we think wrongly that the individual who appears introvert to us, is more humble than the extrovert who doesn’t mind taking space on the social stage. By following the “Labelling Theory” (Becker 1963), we can imagine that the tremulous person appropriates the label of introvert (failing to be something else) and makes his introversion a big part of his identity. Then, with the Becker’s model, we attend to a negative retro-action circle (Peterson 2018). The introvert, to respect his labelling, dives consciously and voluntary to the social inaction by putting values in his shy label.

The extravert like his self very much to, no one doubts that. Who doesn’t like his self ? But him, conversely to the introvert, drives his desire of respecting his proper social label toward social experimentation. Meanwhile the introvert drives his social conatus toward the nothingness of inaction. He doesn’t produce anything in terms of social activity. He almost avoids living.

By this headway, the concealment doesn’t hide necessarily any wisdom quality. The introvert is just the slave of his nihilist vainglory resentment who prevents him, day by day, to be what it could be.

It’s obvious that the article you’re reading, makes a generality by the absence of contrast between the many introverts profiles. But generalization is also a methodological tool in the social sciences, sometimes hardly required. This article doesn’t affirm anything. It just tries to shape the understanding of a phenomenon by doing the abstraction of the exceptions. If we have to take in consideration these exceptions, the work of reflexion wouldn’t be possible for the thinker.

You want to dive into the the topic ? Here the endnotes :

  • Goffman, E. (1959). The presentation of self in everyday life. Doubleday; Mayflower.
  • Nietzsche, F. (s. d.). The genealogy of morals. The Modern Library.
  • Becker, H. (1963). Overview of Labelling Theories, www. Hewett, Norfolk.

How to read a book – Mortimer J. Adler

Depuis plusieurs années, nous assistons à un regain d’intérêt des jeunes générations pour l’art et les activités dites classiques. La lecture en est l’activité principale par son caractère incontournable à l’école ou à la maison, mais surtout du fait de l’accès aux champs des possibilités qu’elle offre. La richesse d’un livre restera toujours conséquente : même un petit livre de 200 pages, reste un énorme pavé de 80 000 mots, contrairement à un article de blog qui en contient généralement 1000.

Que ce soit l’étudiant qui apprend sa discipline par la lecture de manuels, ou encore le jeune paumé qui lit des philosophes des temps anciens, car le présent ne lui donne aucune réponse à ses questions, ou celui ou celle qui a ce don d’avoir le goût de la lecture et qui se plonge dans un livre par plaisir, tout le monde est concerné par la lecture. Ce livre concerne plus précisément toutes les personnes qui souhaitent maîtriser à un niveau supérieur un domaine ou une discipline quelconque par la lecture.

Malheureusement, les guides proposés sur internet ne concernent que des aspects anecdotiques de la lecture, notamment des guides pour lire plus vite ou mémoriser plus facilement ce qu’on lit. Mais il n’y a rien en ce qui concerne la lecture de manière globale. On peut noter aussi que dans notre époque postmoderne qui fait que ce que l’on représente est plus important que ce que l’on est, on finit par ne plus lire pour lire, mais seulement pour dire que l’on a lu. Pour ceux qui veulent dépasser cette superficialité de la lecture, ce livre offre un guide complet. Écrit en 1940, il nous est parvenu 80 ans plus tard.

Le livre en lui-même

Écrit en 1940 par un professeur de Philosophie reconnu Mortimer J. Adler et aidé par l’écrivain Charles Van Doren, How to Read a Book se révèle être l’un des seuls guides pratiques qui couvre bon nombre d’aspects de la maîtrise de la lecture. Malheureusement, sa version traduite en français n’est disponible nulle part.

Il faut avoir à l’esprit qu’il n’y a rien d’absolu. En ce qui concerne la lecture, l’auteur ne fait que mettre en place des normes de bonnes conduites pour nous proposer une certaine éthique de la lecture. Aucune règle n’est absolue. Personne n’est obligé de suivre ces règles. Mais bon, quand l’un des plus célèbres professeurs de philosophie des États-Unis vous donne des conseils, on s’assoit et on écoute.

Ce livre part de l’hypothèse que la lecture est une compétence, qui peut être entraînée et maîtrisée à haut niveau. Pour cela, l’auteur principal, Adler, décompose l’apprentissage de la lecture en quatre parties distinctes.

Les 4 parties du livre

La lecture élémentaire : La lecture élémentaire, c’est le niveau de lecture que tout le monde possède déjà. On l’acquiert très tôt à l’école. C’est tout simplement la capacité de changer des symboles en information. Ce chapitre n’a que peu d’importance et nous n’allons pas nous attarder davantage dessus pour des raisons évidentes.

La lecture d’inspection : Le deuxième niveau de lecture décrit par Adler est bien plus intéressant. Il est surtout nécessaire pour passer aux chapitres suivants. Comme son nom l’indique, la “Lecture d’inspection” consiste à trouver le plus d’informations possible sur le livre avant d’en commencer la lecture. Ce niveau est essentiel pour savoir, sans même avoir lu entièrement le bouquin, si vous devez le lire, et surtout comment le lire (un livre théorique ne se lit pas de la même manière qu’une fiction). Ce niveau de lecture vous donne un aperçu complet du livre qui sera fortement utile pendant sa lecture. Adler distingue deux méthodes utiles et pratiques pour la lecture d’inspection.

La première, qu’il nomme “L’écrémage”, consiste à jeter un œil à toutes les informations de façade que contient le livre.

La deuxième méthode qu’Adler appelle la lecture superficielle peut être couplée à la première ou non. Elle concerne la lecture brève du livre dans sa totalité, sans s’arrêter.

La lecture analytique : Le but de la lecture analytique, c’est de comprendre le message et l’intention de l’auteur par une lecture complète du livre. C’est un niveau de lecture qui permet de comprendre un livre, la raison de son existence, et permet de le critiquer raisonnablement.

Ce chapitre nous montre comment :

  • Classer le livre
  • Comprendre l’unité du livre
  • Définir la problématique de l’auteur
  • Comprendre les propositions clés du livre
  • Comprendre le langage de l’auteur
  • Trouver et comprendre les arguments de l’auteur
  • Critiquer les arguments de l’auteur

La lecture comparative : Le dernier chapitre de ce livre présente une méthode de lecture plus poussée. Le but de cette lecture est de croiser les ouvrages sur un même domaine pour en retirer le maximum de connaissances possibles et en comprendre les possibles paradoxes. C’est une méthodologie de recherche essentiellement utilisée par les universitaires.

Dans l’introduction, Mortimer donne les trois raisons qui poussent quelqu’un à lire : le divertissement (pour se détendre), l’information (avoir de la connaissance, ou de la culture générale) et la compréhension (être plus perspicace, comprendre mieux les logiques d’un domaine, d’une discipline). Ce livre se concentre essentiellement sur la compréhension, car d’une part c’est la raison la plus compliquée à développer et d’autre part, c’est la seule qui possède un impact important sur nos vies.

Sur la lecture rapide

En ce qui concerne la vitesse de la lecture, Mortimer vous répondrait que les individus qui se forcent à lire vite ne lisent pas vraiment, ils survolent le livre. Quand on veut absolument lire vite, on ne prend pas de notes, on ne se questionne pas, on ne lit pas de manière intelligente.

En plus d’être une méthode ridicule et non productive, le “speed reading” traduit chez celui qui le pratique une certaine flemme, qui s’exprime par le désir de vouloir accumuler des connaissances sans faire d’effort. En littérature, l’effort est constant et concerne tout le monde.

Les deux écrivains préconisent d’apprendre à varier la vitesse de lecture plutôt que de vouloir absolument lire plus vite. C’est en adaptant votre vitesse de lecture, en fonction des chapitres que vous allez juger comme des passages clés du livre (avec à la lecture d’inspection), que l’on peut gagner en vitesse de lecture sans perdre en compréhension.

Les “speed readers” s’accrochent plus à leurs vitesses de lecture qu’au livre lui-même et cela a un impact sur la compréhension. C’est exactement pour cette raison que c’est la compréhension du livre qui est jugée lors des concours de speed-reading.

Le marquage d’un livre

Pour Adler, vous êtes propriétaire du livre seulement si vous écrivez dans celui-ci. C’est la seule méthode pour s’approprier un livre complètement et le faire passer de simple bouquin à un objet d’étude personnel unique, ce qui correspond à votre propre questionnement.

Lire un livre doit être comme une conversation avec l’auteur ; n’ayez pas peur d’écrire dans un livre ou de l’abîmer. Justement, c’est un honneur pour l’écrivain que de s’approprier ses pensées en marquant le livre.

La méthode de marquage d’Adler se décline comme suit :

  • Souligner les points importants
  • Suivre la ligne verticale pour relever un passage
  • Utilisation d’étoiles dans la marge
  • Utiliser des numéros dans la marge pour lister les points non visible d’un argument
  • Et surtout, écrire dans le haut et le bas de page : les interrogations, les désaccords, etc.
  • Et je rajouterais ensuite l’utilisation de post-it pour marquer clairement les pages.

Conclusion

Dans son ouvrage, Adler met l’accent sur notre capacité à analyser un livre comme un squelette humain. Un livre est structuré en plusieurs parties, qui sont elles-mêmes structurées par des points essentiels. Connaître la structure du livre avant sa lecture permet d’anticiper l’auteur et de mieux le comprendre.

Le livre coûte une vingtaine d’euros sur Amazon. Je vous encourage à le lire si vous faites des études qui demandent des compétences littéraires.